
BIO



Une bête mythologique :
mi-homme, mi-expresso
David Barbeschi est un scénariste multi-primé qui a collectionné les nationalités comme d’autres collectionnent des cartes Pokémon (né en Hollande, élevé en Italie, France, Suisse et Royaume-Uni, de parents italiens et arméniens).
David aborde l’écriture de scénario comme un scientifique : d’abord la recherche, identifier le problème, cibler la solution, et s’assurer que toute la structure tienne quand la production et les réécritures s’imposent.
Élevé aux mousquetaires, aux dinosaures et aux sabres laser
David grandissait avec les duels de Zorro et Les Trois Mousquetaires, les frissons de Jurassic Park et l’héroïsme de Star Wars. Ajoutez-y quelques mythes et légendes (on s’y attend un peu avec ses racines multiculturelles), et vous obtenez sa formule : aventures épiques, drames à haute tension, et personnages qui vous restent en tête longtemps après le générique.
Ce qu’il a retenu de ces œuvres ne se limite pas au spectacle, mais à l’équilibre : de fortes émotions ancrées dans des récits que l’on peut réellement porter à l’écran.
Pour reproduire le succès des histoires qui l’ont marqué enfant, David a résumé sa méthode d’écriture autour de trois principes :
absorber des histoires, raconter des histoires, corriger des histoires.


« Très bien ton idée… mais on le tourne comment ? »
On peut le trouver un peu fou, mais David tient vraiment à ce que ses histoires deviennent des films. Vraiment. Du coup, il garde toujours un œil sur la réalité de la production : budget, logistique, ce qui est tournable. Ses années en gestion de production lui ont appris qu’un scénario, ce n’est pas juste des mots sur du papier, c’est le plan de centaines de personnes à exécuter.
Son objectif ? Captiver d’abord, glisser le poids des émotions une fois que vous êtes déjà embarqués (David est fier de faire pleurer pendant les lectures de table de ses scénarios).
Infos inutiles mais qui font briller en soirée
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Trilingue (italien, français, anglais).
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Garde une collection de 779 citations de George Lucas.
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A dû corriger un scénario de 312 pages, écrit partiellement dans un alphabet extraterrestre inventé par l'auteur originel. David et les producteurs l’ayant engagé s’en remettent difficilement.
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Est daltonien (malgré une décennie passée dans l’illustration et le design graphique).


































